Sunday, July 17, 2005

dimanche 17 juillet 2005 – Ste Charlotte

« Charlotte Sometimes » concert trialbum téléchargé.

Charlotte parfois pied à l’étrier d’un mystère, La Charlotte s’avère désigner un navire caché sous les glaces dont la tête de proue est une femme, secret jalousement gardé des années et des siècles, mystère relancé et découvert par un enfant qui devenu adulte réalise le dévoilement de l’énigme de sa famille Les Gates dépositaires de génération en génération du secret menant au trésor gigantesque tant convoité et disparu de l’histoire depuis des siècles.
Benjamin Gates remonte indice après indice à la source de l’énigme du trésor des templiers. Là où tous ont échoué, il réussira peut-être par probité.

Et le rêve continue. Suite du rêve de samedi 16 au matin puis de la partie au réveil avec l’épée fantôme et Scoubidou ce dimanche au lever, dessin animé : Sur les traces du Professeur SAMSA
Une fille trouve le petit Eliot endormi dans la bibliothèque et le réveille.-« J’ai passé la nuit dans les notes du professeur. » -« Il descendait au marais et chaque fois qu’il revenait il avait l’air tellement heureux » explique la fille. Sans commentaire Eliot se saisit d’un appareil de pêche, invention du professeur disparu et muni de l’objet part à sa recherche direction là où il a disparu, le marais.
Le garçon se poste sur le bord et lance la canne automatique qui se bloque comme si elle avait fait une grosse prise qui jaillit l’instant d’après de l’eau. C’est une sorte de grosse assiette, en fait un bouchon géant qui retenait l’eau du marais laquelle s’écoule au fond comme le ferait le contenu d’une baignoire laissant apparaître une cuvette géante de sable avec une porte. Eliot la pousse et entre dans une pièce laquelle se révèle être un laboratoire secret où le professeur se livrait à ses expériences sur le polymorphisme. Eliot découvre une capsule d’immersion. Il se plonge dans les notes.
Les amis d’Eliot s’inquiètent de la disparition de leur ami. « Pour lui avoir piqué ses chaussures, est il allé sur les traces du professeur ? »
Eliot s’enferme dans la capsule avec pour compagnie une araignée qu’il prend pour le professeur. Il veut tenter l’expérience pour le faire revenir. Une explosion se produit mais l’expérience n’a pas marché. La détonation a alerté les amis qui ont trouvé un écureuil qu’ils prennent pour
Eliot transmuté. Les retrouvailles sont joyeuses. Après leur départ, c’est l’écureuil qui endosse la blouse du professeur laissée par Eliot et qui ayant refermé le bouchon du marais qui se reconstitue, s’enferme à son tour dans la capsule…
polymorphisme
propriété que possèdent certaines substances chimiques d’affecter plusieurs formes cristallines différentes. Caractères des espèces dont les individus de même sexe peuvent être très différents les uns des autres, comme certains insectes sociaux.

samedi 16 juillet 2005- « La guerre des mondes »

samedi 16 juillet 2005- « La guerre des mondes », « le gendarme et les extra-terrestres », « Hardware » autant d’exemples où les envahisseurs sont vulnérables à l’eau. L’eau symbole et source de vie sur Terre.

Vision d’une nappe, un mirage. Il se dissipe et devient flou à mesure que j’accommode ma vue. Puis disparaît.

Rêve de cette nuit : une forteresse où chacun prend ses appartements, comme si on s’installait pour la nuit. Passage dans pièce commune avant de monter. Collation ? Etalage de thé-sachets multicolores, j’en saisis deux un grenat et un violet arôme cerise et violette.
Puis montée, entrée dans une chambre et sans attendre mon reste, je m’installe, fait la place dans une penderie où pendent des bretelles, un pantalon d’homme que je pousse vers la droite. Une autre personne sur mes talons (sœur ?)est indécise. Je m’approche de la fenêtre, jetant un regard panoramique je remarque dans la baie en dessous à marée basse comme un chantier de fouilles du sable, j’entends que quelque chose est recherché là-dessous mais pas encore trouvé, quelque part dans une grotte ensevelie. Instantanément j’ai conscience que je sais, je connais l’endroit. J’ai déjà vu ce lieu de l’intérieur sous la mer pas comme là. L’ont-ils asséché ? Je vois de l’autre côté de l’enceinte des travaux que la mer est là. Je suis déjà venue en ce lieu en d’autres temps ou en rêve. Je devrais aller droit au but alors qu’eux cherchent à l’aveuglette.

Au réveil, c’est scoubidou qui apparaît quand j’allume le poste de télévision dans l’épisode du vaisseau fantôme.
Le fantôme lumineux, une cachette secrète sous l’eau, Scoubidou et SAm se gonflent d’air avant de plonger mais des baudruches ne peuvent s’immerger et flottent en surface leur explique DAphné. Pris par Barbe Rousse, il leur offre la vie sauve contre la préparation de ses repas puisqu’ils proposent leur compétence. Mais le repas un ragout de patates sauce fantôme est fait de cendres, de toile d’araignée, de savon et le capitaine les fait tester le plat sous ses yeux avant de leur faire subir sa colère quand ils étouffent les bulles. Le bateau est caché dans une grotte secrète, le capitaine est un pirate de haute mer. Une déclaration d’expédition un inventaire détaillé de la cargaison est dressé. Date de l’embarcation. Un coffre dont une tête de mort demande le mot de passe ; tonneau de rhum. Une épée fantôme qui les suit partout les prenant en chasse. Mis en joue par un fouet de cuisine, les pirates seront finalement arrêtés par les flêches de l’arc-ventouses à cul de Fred et Daphné, quant au capitaine Barbe Rousse ce sont Scoubi et Samy qui vont le crocheter avec ce qu’ils nomment leur échasse à ressort, en fait un marteau piqueur enfourché pour l’occasion comme coursier vibrant. Le W72 (bateau de la cavalerie) arrive pour clore l’épisode et démasquer les truands. Le docteur Magnus de la compagnie maritime avait le rôle de Barbe Rousse. Le processus de la glace carbonique + eau a donné les brouillards fantomatiques.

RE-suite

En fait pour être plausible il faut dire que c’est lui qui a dû faire du thé pour moi, pourquoi sinon ne me souviendrais-je pas l’avoir fait alors que je me souviens l’avoir vu aller et venir pendant que j’étais moi perdue dans mes émotions.
C’est lui qui lui aurait fait du thé comme suggéré dans l’une de leurs correspondances. Elle aurait fait la moue, la grimace devant le breuvage épais et sombre comme un café turc. Il aurait capté son expression. Son sang n’aurait fait qu’un tour et il se serait levé devant sa moue de dégoût, geste inconscient de sa part, pour aller vexé le verser derrière. Encore ratée la rencontre idyllique.

Tuesday, July 12, 2005

suite rêve sous-sol

Ah, j’oubliais de dire que dans le rêve du sous-terrain il s’adresse à moi en français correct alors que je peine à formuler ce que j’ai à lui dire en anglais. Il me répond en français comme je le fais souvent moi-même terminant une phrase bafouillée avec ses mots comme s’il l’avait entendue comme je la formais.

Monday, July 11, 2005

11/07/2005 09:27 – Suite

Poursuite du récit du rêve/cauchemar de rencontre (autres séquences sans ordre clairement établi)

Je lui propose un thé que je me vois apporter pour deux, noir dans des tasses. Il/Je/nous reste à regarder fixement le contenu de la tasse, comme s’il était épais vaguement dégouté(e). Je dis comme pour me justifier qu’il y a du citron s’il veut désignant une tasse pleine de jus de citron. Mais il se lève irrité part avec sa tasse et la vide de l’autre côté de la cloison.

Pour un 24ème moment difficile d’imaginer pire ! Aussi quelle idée d’aller faire du thé à un anglais. Leur boisson nationale. Ils doivent mettre un point d’honneur à le faire bon et dans les règles de la tradition. A moins qu’il n’aime que le café va savoir ? De toutes façon le contexte du rêve était déjà cauchemardesque. Quoique je me suis pas vue le faire, juste lui présenter une tasse. En fait c’est peut-e^tre lui qui m’a fait du thé et moi qui ai fait la fine bouche devant ce breuvage sombre et épais comme à l’époque de ma correspondante anglaise Sonia qui faisait du thé fort comme du café italien, imbuvable pour nous français qui le buvons plutôt léger… comme eux anglais boivent le café. Pas facile l’art du donner recevoir, de respecter l’espace de l’autre, les notions de territoire à ne pas envahir, violer, empiéter, occuper.

Son physique quand il se lève, je ne reconnais pas la silhouette connue aimée fine, ici les formes sont plus rebondies fermes voire dures comme un ballon trop gonflé, à la limite empreintes de (ou vouées à la) violence.


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J’ai tellement peur de l’oublier qu’il faut que je l’écrive maintenant. Au moins quelques mots clés.

Matelas dans un coin, ce qui lui tient lieu de chambre ?
Alors ce n’est pas la voiture ? Ou bien d’autres personnes vivent aussi plus ou moins en un réseau de désinserés ? Kwin et Flo débarquent en coup de vent, « bon tu fais quoi, tu viens ? » Je leur répond que je suis occupée ; Le comble du sordide je crois c’est quand voyant toute cette misère ne sachant par quel bout prendre les choses, je vois des coussins ou je ne sais quels blousons que je soulève pour les enlever car ils sont à même le sol et qu’ils sont trempés par quoi de l’eau ? Non je crains que non. Comme je les exhibe il me confirme que ça lui arrive d’aller uriner de ce côté. Désolée de mon dégout et manque de délicatesse je laisse échapper un « Oh, pardon ». Il cherche à s’esquiver prétextant un rendez-vous urgent.

Je l’ai sous la main, je vais pas le laisser filer cette fois bien qu’il soit évident que je ne puisse souhaiter le rejoindre pour une telle existence. On n’est pas là pour ça, pas cette réalité là pour aboutissement. Non j’ai un projet avec lui, je le lui dis. Il est désabusé de tout, ne semble vraiment pas convaincu par ce que je lui dis comme s’il savait ou avait déjà eu vent de ce que je voulais lui proposer. Comment le pourrait il alors que je ne l’ai même pas clairement consciemment défini moi-même ! Mais ça a le pouvoir de réveiller mes craintes, de me faire douter. Mais là je ne scille pas comptant sur ma volonté de prendre les choses en main. Comme il continue de vaquer à ses occupations et est sur le point de quitter le ‘’repère’’ je le suis dehors lui réexpliquant que j’ai attendu depuis si longtemps pour le trouver enfin. Il sourit en marchant complètement ailleurs: un souffle d'air chaud a motivé son expression. Entousiaste il commente à mon regard interrogateur :

-"C'est Christmas, ils ont ouvert les deux issues, c'est pour ça!"

Il s’est douché et largement enduit son visage de fond de teint trop mat et foncé pour sa carnation. J’ai oublié de dire que ses traits sont maintenant ceux de l’acteur de Despérado que j’ai revu en téléfilm hier dans un rôle de médecin traqué où il change d’apparence à plusieurs reprises pour se dissimuler et parvenir à mener l’enquête qui le disculpera à la fin.
Il revêt un long manteau genre Loden. Arbore un look de vieux beau comme on dit pour ces hommes apprêtés avec vulgarité ou indignement voulant se donner un genre qui gâche la beauté qu’ils auraient au naturel pour s’adapter à un milieu auquel ils s’accrochent et veulent maintenir tel personnage.

-« Des photos pour quoi faire ? »

Il me demande pour les photos, ce que je veux en faire. Il a dû comprendre que je veux prendre des photos or ce n’est pas ce que j’ai dit. Comme pour m’aider à préciser mon projet. On est dans l’urgence du rêve dont il va falloir sortir. Déjà dehors à la lumière du jour. Un arrêt de bus une gare la ville un parc ombragé des palissades ou planches de barrière je regarde de toutes parts autour de moi cherchant à saisir où nous sommes.

Alors qu’on sort mon père m’appelle me dit qu’ils attendent en voiture. Je lui demande de patienter 5 minutes, que je termine et puis arrive. Oui, je vais partir puisque ce n’est pas possible que je reste mais je voudrais garder le contact continuer à communiquer avec lui. Je lui demande si je peux lui écrire, si on peut s’écrire, s’il veut bien me fournir son adresse comprenant instantanément l’incongruité d’une telle question vu les circonstances. Et le constat est accablant, en fait rien n'a changer ou ne changerait à se rencontrer.

Sunday, July 10, 2005

rencontre en rêve nocturne du dimanche 10 juillet

10/07/2005 10:15 – Je vais me coucher en déplorant de ne plus le rencontrer dans mes rêves nocturnes et la nuit même je l’y retrouve.

On qui Thy ? me conduit. Ai-je tant insisté que j’obtiens ce que j’ai demandé ? Toujours est-il que me voilà amenée à ce sous-sol, parking sous-terrain. A mesure que j’avance, l’appréhension autant du doute que ce soit vrai que de ce que je vais découvrir ou comment va se passer cette rencontre dont je ne sais rien, pas préparée, ni lui ? Est elle consentie de sa part ?
-« On arrive » me chuchote mon accompagnateur me faisant signe de faire silence. Ralentissant le pas, presque sur la pointe des pieds il me désigne une voiture sur le toit défoncée, cabossée. –« Il est là. Tu le vois ? » Je scrute avec attention du côté de la fenêtre mais ne suis pas sûre de distinguer quoi que ce soit. Le son de quelqu’un qui grommelle de l’intérieur me confirme qu’il y a bien quelqu’un à l’intérieur. Quelqu’un qui nous a visiblement détectés. D’un coup la portière s’ouvre et laisse apparaitre son passager. Un homme en vrac, hirsute, style on l’a sorti de son sommeil lève la tête, se cogne et vient maugréant s’enquérir de ce qu’on lui veut tout en s’extirpant péniblement de l’ habitacle. Qu’est-ce qu’il faisait là dedans ? C’est quand même pas là qu’il vit m’interroge ? En même temps l’autre lui répond qu’il a une visite, que quelqu’un désire le voir. Pas le temps de réfléchir maintenant, est-ce bien lui ? Je continue d’avancer retenant mon souffle. Oui on dirait bien me dis-je comme l’homme debout sur ses pieds nous lance tour à tour un bref regard qui me le confirme. Les mots s’il les avait formulés auraient donné un truc du genre - « ben oui, c’est bien moi et c’est là que je vis ! ». Pas de doute c’est bien lui. Le souffle suspendu par ce qui se passe ici je suis frappée de stupeur et n’ai plus la notion de temps.
Ses cheveux moins longs qu’à une époque ne sont plus noirs d’ébène mais poivre et sel. Son visage est maculé de cambouis. Il est débraillé, ses vêtements sans couleur et sans forme sont froissés. Il présente tel un poivrot comme dit l’expression« à la gueule enfarinée » d’un lendemain de beuverie. Stupéfaite et gênée pour lui, je suis toute à l’observation qu’ il me laisse livrer sur sa personne sans faire cas de mes réactions comme s’il s’en foutait et/ou savait par avance ce qu’il ne pouvait manquer de susciter. Il passe devant moi pour aller je ne sais où dans ce sous sol constitué de cloisons, cavités comme des caves. J’explore le lieu. Il a compris que je suis une de ses admiratrices du temps passé. Il à l’air complètement désabusé, usé. Il a repris ses esprits maintenant et à l’air bien inséré dans sa misérable vie présente qu’il ne cherche même pas à cacher. Pour autant il fait mine d’être pressé, d’avoir un rendez-vous important. Est-il sale ou juste négligé ?
"Il a vraiment besoin d’une douche ‘’. Entend-il mes pensées, toujours est-il que comme il réclame urgemment, une fille a surgit simultanément et lui tend un ticket de douche. Se trahi-t-il par ce fait ? Paradoxe de la situation on dirait un prince capricieux, déchu de ses fonctions ou déguisé en clodo pour l’occasion. Quelle occasion ? Ah oui ! Je me souviens le début du rêve. Il s’agit d’un film qu’on m’a remis au départ et que je suis en train de visionner. Quand je l’ai eu, on me l’a passé pour son dernier film. J’allais en connaître un peu plus sur lui, je me suis dit, tout en sachant qu’il divulgue si peu à chaque fois.
Pourtant il est vraiment crédible et je crois ce qu’il veut montrer sans savoir vraiment dans quelle mesure ou à quel niveau se situe sa misère.

Je n’ai pas fini de relater le rêve qui m’a prise au milieu de la nuit mais vais publier cette partie avant de continuer parce qu’il est déjà tard. Il m’a quand même fallu une heure pour l’écrire.

Saturday, July 02, 2005

Rêve sieste du Dimanche 26/06/2005 : une carte à jouer m’est tendue au réveil ; Sur cette carte une maison à étages.

jeudi 30 juin 2005 – Rêve: femme sauvée de la noyade par moi.(des glaces?) BB ou inversement. Seule point dont je puisse être gratifiée dans cette aventure. J’en parle ou d’autre chose au tel. Un homme est là dans la pièce subissant mon bavardage et jérémiades sur ma condition de misère. Je perçois que je suis peut-être en train de brouiller son silence comme j’en ai souffert souvent aussi. Mais il faut que je sois entendue d’une façon ou d’une autre même si ce n’est pas en le faisant ainsi sans pudeur. Comme je m’interroge sur sa présence je comprends qu’il attend dans le salon/séjour qu’on descende. J’ai remarqué sa vieille auto du début du siècle.
Ses traits varient au cours du rêve. Ceux de l’ouvrier/consultant inconnu prennent ceux du fiancé de Bridget Jones mais cheveux plus longs et blond vénitien. Il a compris ma détresse et alors que les parents sont descendus et qu’il va saluer pour prendre congé, il commence par moi et glisse dans ma main au moment de la serrer un vieux billet d’époque en francs. Comme je proteste du regard il insiste de même fermement me glisse le billet retire sa main pour saluer les autres pendant que je m’efface pour cacher ma gêne me demandant ce que je vais devoir lui donner en retour, il s’en va. Je ne le reverrai pas avant longtemps. Il surgit fortuitement sans me voir. Je lui bondis dessus. Il me dit l’air de rien qu’il a su en effet que je l’ai cherché quelques temps. Qu’on lui a dit que je suis venue tous les jours à son adresse inconnue pendant 24 ?42 ? jours ? mois ? puis plus rien comme si je l’avais oublié ? semble-t-il me demander, Il n’a pas sur ce que je voulais. Le rembourser dans la position de celle en dette/in debt ? Je n’en mène pas large. C’est comme s’il me prenait de haut, c’est ce qu’il affiche en tous les cas, m’évaluant comme quelqu’un de « facile » pour quelqu’un d’aisé comme lui. Clichés de rôles interposés.
Sa voiture m’avait interpelée, appâtée comme n’importe quelle autre greluche cruche.