Friday, April 29, 2005

vendredi 29 avril 2005 –

I wouldn’t say “Noli me tangere!” (Don't touch me!-Versio Vulgata, Ioh. 20.17) but I wouldn’t touch you.

Mot clé du réveil de ce jour : tétragrammaton.
Un mot d’abord sur le tétras.

Le tétras est le symbole de la passion sans mesure, qui défie par amour jusqu’à la mort. « la mesure de l’amour est d’aimer sans mesure » ; disait Saint-Augustin mais en parlant de l’amour de die bah qu’importe, qu’en savent ils ?
Vie et mort enlacées c’est l’image du tétras dansant et criant son amour. Selon Buffon (ou buffoon ou Bouffon singe du roi ?) les chasseurs ne peuvent les tuer qu’en rêve ! !
De la passion et son issue fatale, qui ne nous a pas mis en garde comme de la pire chose qui puisse arriver ?
Les exemples regorgent des bien-pensants que j’imgine plein d’amertume de ne pas l’avoir vécue, de ne pas avoir été touchés par la grâce qui est à la clé de ceux en qui elle se manifeste au lieu de la destruction annoncée par les feux dévastateurs.
Car oui, une passion se gère comme tout ce qui a trait à l’affect humain. Il peut s’agir de s’accorder de se mettre au diapason. Ceux qui se brulent et en gardent la morsure n’ont pas respecté la voix de la mesure.
De la grammaire (pour acknowledgement) : étude et description des structures syntaxiques, morphologiques et phonétiques d’une langue.

TV : chanson « écrit l’histoire dans ma mémoire mais n’écrit jamais la fin, écrit tout ce que tu voudras entre mes lignes ton territoire »

Pour accomplir cette révélation j’ai besoin de ton soutien, de ta confiance inconditionnelle,
Pour l’écrire j’ai besoin d’un climat favorable et des moyens de m’assurer un savant dosage de paix et de motivation désormais plus dans l’étranglement de la menace de ma survie et de celle du monde mais dans le partage-témoignage de cette sérénité enfin trouvée à tes côtés.

Si je ne choisis pas de me préserver volontairement c’est parce que je sais que rien ne peut me détourner de ce but, que rien n’est comparable ni ne mérite que je m’en détourne étant donné ce que j’ai appris.

Le sens aussi fugitif et glissant que le poisson dans les mains du pêcheur est à saisir et suivre du regard, rarement saisissable à mains nues (dans l’eau il glisse et s’échappe, hors-eau dans l’air il risque bien vite l’asphyxie. Et que reste-t-il d’un poisson mort, chose inerte chair et arêtes ? Un pansement momentané pour l’estomac et la satisfaction d’un plaisir gustatif.

Tuesday, April 19, 2005

Avril adnda

mardi 5 avril 2005 – Rêve fabrique usine grande surface ? stocks de boisson, employés affairés. Ville contaminée, secret caché à la population, gens disparaissent. Je ne retrouve plus.. ou est Flo ? Je revois une personne connue ‘avertie’ comme moi, il sait où elle est et les autres, on va là où ça se passe. Institution. Salle d’attente ou salle commune. Ils sont tous là shootés comme dans un hopital psy. Flo me confirme qu’on leur a ‘administré’ des cachets, qu’ils n’ont pas d’autre moyen que les avaler mais que ça va. Pour infiltrer pas d’autre moyen que d’en passer par là mais pas sûr que ce soit une bonne idée. Trop tard pour revenir en arrière.

lundi 11 avril 2005 – Rêve : Kraddock bateau ? Garage ? Petite réparation j’attends Son père ou frère, conflit
toiles blanches peinture (cours de)? Sable, bord de mer ? Je regarde dessiner, aimerais participer, au centre des participants une peinture se dessine d’une rigole une bulle des les premiers traits cette toile se distingue des autres comme si elle prenait vie tant elle est réelle, irisée, lumineuse, métallique, aquatique. Je m’approche fascinée simultanément je pressents je veux crier NON ! J’entends l’artiste le dire tout en le faisant effectivement d’un trait vertical « maintenant je la sépare en deux ». Je n’ai eu ni le temps ni le pouvoir de l’arrêter.

vendredi 15 avril 2005 – Rencontré Kraddock ce matin. Feuilletant un classeur de formations, il me dit vouloir se recycler et faire le taxi. Me souvenant en fin de journée du rêve de début de semaine je lui téléphone pour lui en faire part lui demandant de ne pas renoncer à sa vie artistique, à la création, à sa galerie d’art.

dimanche 17 avril 2005 – Rêve de Yves alias L.P. vivant.
Concert de Fields Of The Nephilim tant attendu, quelle surprise, j’ai peine à y croire mais vais voir. Déception comme prévu, ce n’est qu’un groupe tribute ou un DJ qui passe du Fields Of The Nephilim remixé, pas de Carl là dessous. Je me retourne et surprise !
Yves est là assis dans un fauteuil face à moi souriant de me voir interloquée alors qu’il est sensé être mort et enterrré. Je ne peux réprimer ma joie de le revoir et vais pour lui sauter dans les bras, puis inverse la situation me glissant sous lui et l’engageant à être sur mes genoux (de façon fraternelle, sans ambiguité entre nous).
J’hésite quant à quoi lui demander, comment formuler. Je sais que l'instant nous est compté. Où es-tu, où vis-tu ? J’arrive à lui demander dans l'urgence. Il me répond reformulant ma question faisant un geste évasif comme si ça n’avait aucune importance où je dors ? Dans les avions ici, et là.


Daydream : Ce rêve d’Yves vient en réponse à mes interrogations posées dans l’air à Yves de la veille ou du jour précédent.
Vu ce jour dans Scary Movies la scène du clown dont la face énorme passe du large sourire à la moue d’infinie tristesse. Je l’avais rêvé quelques nuits plus tôt.

Lundi 18 avril 2005 : Rêve de l’annonce de l’arrivée de ma pension après entrevue avec Isa au parc ensoleillé.
Toilettes publiques ou d’établissement scolaire, peu d’intimité (souvenir effacé mais qui revient souvent en rêve).
Le courrier de la CAF arrive effectivement ce jour m’annonçant le crédit prochain sur mon compte du RMI. Parallèlement je reçois un avis de prélèvement pour le 28 avril (télé2) dont il va falloir que je m’occupe.

Le soir : confirmation d’un disque avec date et contact chez SPV du prochain disque de FOTN. Le contact est la personne qui s’occupe de la promo radio.

Wednesday, April 13, 2005

rêver toiles

Kraddock bateau ? Garage ? Petite réparation j’attends

Son père ou frère, conflit

toiles blanches peinture (cours de)? Paysage blanc de sable, bord de mer ?



Je regarde dessiner, aimerais participer, au centre des participants une peinture se dessine d’une rigole une bulle . dés les premiers traits cette toile se distingue des autres comme si elle prenait vie tant elle est réelle, irisée, lumineuse, métallique, aquatique.

Je m’approche fascinée par le spectacle sous mes yeux
.
simultanément je pressens le geste à venir je veux crier NON ! J’entends l’artiste dire tout en le faisant effectivement d’un trait vertical « maintenant je la sépare en deux ».

Je n’ai eu ni le temps ni le pouvoir de l’arrêter.