Sunday, July 16, 2006

dimanche 16 juillet 2006 – Rêve de la nuit à mettre dans la série « my last dream with Carl Mac Coy »
« I had to make sure of the genre » Fait suite au rêve de vendredi (ou samedi ?)

J’entre dans une pièce éclairée par la lumière du jour dans un lieu d’affaires culturelles (salle de cours ou d’audition, ancienne école réaffectée en bureaux sur plusieurs étages). C’est un lieu de passage et d’attente à deux entrées, une issue permet de descendre à l’étage en dessous par un escalier en colimaçons. Je vois Carl avec un classeur ouvert dans les mains et m’efface pour le laisser passer comme il descend. Il a laissé le classeur en évidence comme à mon attention. L’opportunité est trop belle d’en savoir plus, je m’en saisis, le feuillette un instant. Des articles de presse amoncelés, empilés et annotations. Je n’ai pas le temps de trouver ce que je cherche comme je l’entend qui remonte. Une voix lui recommande d’être bref suite à quoi il acquiesce au nom du mystère à entretenir. Il est à hauteur de me voir comme je glisse le document dans ma valisette. J’explique que je n’avais l’intention que de l’emprunter pour pouvoir le consulter. Il ne montre pas de réaction et me tend quelque chose en me faisant un signe de la tête. Il semblerait qu’il veuille que je l’essaie. Je me saisis de ce qui ressemble à une robe. Je la déroule. Noire, déjà portée et plus d’une fois. « courte la robe ! » je m’exclame tout haut ou en pensée. J’ai le temps de voir qu’il est chaussé de bottines pour femme défraîchies comme la robe. Il s’éloigne pour me laisser l’essayer et sort par l’autre bout de la pièce.
Je retourne la robe qui laisse apparaître un dos très échancré poursuivant mes commentaires exclamés. Je n’ai pas eu le temps de l’enfiler qu’il entre à nouveau et reste m’observer la revêtir ce que je fais à la hâte, dans la gêne. Il grommelle en guise d’excuse qu’il devait s’assurer du genre que j’étais tout en s’occupant de ses affaires alors que je termine de mettre la robe et m’aperçois que finalement elle s’ajuste juste bien sans dévoiler autant que je m’étais figuré de la chute de reins.
Il ajoute qu’il fallait qu’il voit et complète ses mots par un geste des mains plus ou moins évocateur sensé évaluer des formes corporelles. Bref, j’ai compris grosso modo saisissant vaguement que le but d’une telle remarque est destiné à tirer parti de la situation, ce que font les hommes en dénudant et perchant les femmes sur échasses afin de les mettre en équilibre précaire et destiné à renforcer l’assurance des hommes par conséquent.
Accords tacites vieux presque comme le monde. Tombée la gêne, reste la présence familière de personnes qui se comprennent à demi-mot comme de celles qui se connaissent de longue date ou se reconnaissent faisant partie du même milieu.
Il s’attarde un peu à ma hauteur ce qui génère une tension logique, à laquelle il ajoute toujours tout haut ou bien en pensée mais à mon attention qu’il n’a pas eu le loisir de voir le haut des jambes, comme pour confirmer qu’il a bien vu le reste. Re-tentative pour me déstabiliser qui n’interrompt pas le court de mes pensées. Je suis tout à la joie simple de l’intimité partagée un moment par nos deux êtres, heureuse de ce bref échange malgré les sordides affaires de sexe, ce vieux business qui scinde en deux parties l’espèce et auquel on n’échappe qu’à une condition : faire de la rencontre une affaire d’individu à individu, personnelle à part entière.
Je fais quelques pas, me tourne puis reviens face à lui.
Suspension du temps brève un instant équivoque mais sans suite à envisager. Je suis consciente que ce n’est qu’une parenthèse, qu’elle n’avance à rien, qu’il va repartir, se dérobe déjà avec sa vie dont je n’ai rien appris de plus.

Rêve de vendredi (cf. date du Red book où je l’ai consigné)
Bernard déménage déjà, si vite et malgré les résolutions qu’il m’a confiées en même temps que sa rencontre d’une nouvelle compagne. On m’invite à m’asseoir et cette « femme » (L’une n’est pas plus féminine que l’autre soit dit en passant –féminine : dans le sens séduisante pour un homme) me propose à boire. Je suis au milieu des allées et venues et me retrouve entre l’ex et sa compagne, à moins que ce soit la voisine de la maison vers la mairie. Encadrée serait le mot juste pour définir les attentions empressées envers moi. Je n’ai pas le temps de réaliser de quoi il s’agit alors qu’on m’aide à ôter mes vêtements un à un, jusqu’à ce que je ressente une sensation au bout de ma main gauche. Je n’ai pas eu le temps d’esquiver un rapide attouchement mutin sur le haut de ma cuisse. Je réalise seulement et alors que je vois apparaître à ma hauteur le vêtement de la femme fendu à l’entrejambe d’où vient la sensation gluante sur mes doigts. Panique à bord, je prétexte la présence de Jeremy présent pour prendre le large stratégiquement sans heurter et me rhabiller en vitesse.
Arrivée au matin dans l’allée de l’agent immobilier alias fsl. Je crains un problème dans mon rachat de l’appartement mais non, simple formalité.

Alors réponse à la question avons-nous été en présence au M’era Luna toujours pas, mais rêve qui rappelle ma tenue ce soir là quoique malgré mes bottines portées depuis quelques années la robe n’avait en commun que la couleur et la longueur quoique pas si courte, et considération faite que ce n’est qu’un rêve, mais ça n’est pas nouveau non plus.

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