Saturday, September 03, 2005

03/09/2005 12:43 – l’art et la manière

You can teach me les bonnes manières pas la bonne manière.

Rêve Robin, mon petit voisin vient vers moi effrontément sous le nez de sa mère qui vient juste de lui interdire pour ne pas qu’il vienne me déranger. C’est la deuxième fois en peu de temps que je le vois lui désobéir et je ne peux laisser passer ça. Comme il arrive à ma hauteur en faisant des manières, je lui applique du dos de la main une gifle sur chaque joue. Je soutiens avec force reproche son regard surpris pour dissuader toute tentative de se justifier. Il fait volte-face et retourne se touchant le visage vers sa mère avec qui j’échange un long regard de coalition. L’instant d’après comme le gamin s’est éloigné je lui exprime l’importance de dire non et de s’y tenir. Mais elle fait comme si elle n’a pas entendu. http://www.gamenavigator.ru/pub/savers/cheshire.exe.jpg

Thursday, September 01, 2005

en bateau

01/09/2005 21:45 – Rêve : seule nana dans un groupe de mecs en croisière? En chalet ? Toujours est il que l’un d’eux vient me signaler -et me précise dans la foulée que c’est pour mon bien- que tous ont effectué la corvée de chiottes sauf moi. Confuse d’apprendre cela, je réponds que je vais m’en affranchir sur le champ. Je ne suspecte pas un instant pendant le rêve que ce peut être un malin qui a percé à jour l’amnésie de mes atterrissages forcés et saisit l’occasion de jouer de ses pouvoirs pour me contraindre moi, femelle du groupe parce qu’il en faut bien un pour me mâter et que lui sait comment y arriver. J’envisage la possibilité maintenant après certaines pensées sur le compte de mon cher Mister C. (about his monkey side towards la guenon). Je lui demande où sont les produits de nettoyage, je dois insister auprès d’une tierce personne qui finit par m’apporter la malette. Très fin ou très lâche je dois reconnaître de laisser d’autres me fournir le matériel pour le sale boulot=ainsi il n’est pas associé dans mon esprit au bourreau. Je la dépose sur la table, on est tous attablés en long comme sur le pont d’un bateau ou une pièce boisée d’auberge, non en plein air. Définitivement. Je suis surprise que le contenu de la malette révêle des paquets de cigarettes et des bières. Il comme un magicien en fait l’inventaire sous mes yeux ébahis que je dois écarquiller pour accomoder ma vision et bien voir éponges et produits d’entretien se changer au fur et à mesure du déballage en paquets de clops. On boit un coup, parle légèrement. Puis il m’entraine pour me montrer quelque chose, comme s’il se réservait le privilège de me faire cette faveur. Et là, je découvre un ciel en technicolor, des effets spéciaux renversants comme des coups de tonnerre qui me font pousser des cris d’émerveillement, limite je bascule deux ou trois fois mais on est tout contre l’autre et on se tient mutuellement. Quel spectacle ! Je l’en remercie.