Thursday, April 01, 2010




mercredi 31 mars 2010 – cauchemar de la nuit Mara est restée trop longtemps sur la plage ! Ses oreilles sont devenues des planques à Bernard-l’hermitte.
Avec Rosanni, ma prof de Tai Chi et Chi Qong en deux lieux, la dernière personne vue avant d’aller me coucher hier soir et qui fait le lien entre deux réalités : réalité :du jour dite ‘de veille’ et réalité de la nuit en sommeil dite « du rêve endormi »

Ici, dans le rêve où je reprends conscience, trois lieux insécurisants (reprend son observation d’hier soir au moment de partir du cours de Chi Qong : penser éteindre les lumières parce qu’on est surveillés et qu’un cours a été stoppé pour avoir été dénoncé d’avoir laissé allumé après 21H).
Bref, je me retrouve ensuite sur la plage, en ambiance d’été. Je me dirige près de l’eau et m’assois sur le sable près de l’eau et des rochers. Une vaguelette vient me contourner et copieusement mouiller. Quelqu’un à mon coté s’écrie « oh ! la marée monte ! »

Machinalement ou parce que quelque chose me gêne je porte la main à mon oreille et sens quelque chose. Je commence à tirer une bouloche, et me retrouve avec un bouchon d’algues et des filaments suivent d’algue fine comme du tabac à cigarette mais vert translucide, des algues fines quoi ! J’en retire encore et encore, et fais de même avec l’autre oreille. Je le dis en le faisant à qui est avec moi. Maman peut-être ? Alors en même temps on se fait l’observation que ça risque de se déboucher d’un coup comme en descendant de la montagne ou en dépressurisation d’avion à l’atterrissage. Et c’est ce qui se produit, et je m’exclame que oui, j’entends mieux ! Tout ça me tracasse un peu tout de même.

Comment et combien de temps a-t-il fallu pour que mon conduit auditif s’obstrue à ce point ?

A deux on s’installe (changement de lieu) et mange une soupe. J’émets que j’apprécie ce genre de soupe que je n’ai pas l’habitude de manger une ainsi colorée aux légumes.

Et puis je suis dans ma cuisine, avec une soupe aux poireaux j’imagine puisque j’ai des tronçons de poireau encore devant moi sur la table. Maman (encore ?) est attablée à la table basse dans le salon et mange la sienne de soupe ?

Alors je fouille encore mon oreille droite et en sors encore des fils d’algue, et en tirant fort éjecte encore un bouchon accompagné d’une sauterelle blanche d’eau qui après s’être posée devant moi sur la table, s’enfuit à travers la pièce. Horrifiée d’avoir hébergé un hôte je crains pour les dégâts que ça a pu et aurait pu causer en interne, je me réveille avec la peur
aussi que la bestiole cherche à réintégrer mon oreille et suis mal un bon moment, j’arrange les cheveux autour de mes oreilles pour ne pas ressentir cette sensation qui reste de gêne d’avoir eu tous ces trucs, aussi j’ai toujours un peu mal aux oreilles comme depuis quelques jours pour avoir comme pris froid, ou infection qui ne se déclare pas mais reste latente, comme en épée de ..Damoclès…ah, tiens mon lanceur de javelot. Arjuna va te coucher !