Sunday, August 01, 2010

Marmot

Thursday, April 01, 2010




mercredi 31 mars 2010 – cauchemar de la nuit Mara est restée trop longtemps sur la plage ! Ses oreilles sont devenues des planques à Bernard-l’hermitte.
Avec Rosanni, ma prof de Tai Chi et Chi Qong en deux lieux, la dernière personne vue avant d’aller me coucher hier soir et qui fait le lien entre deux réalités : réalité :du jour dite ‘de veille’ et réalité de la nuit en sommeil dite « du rêve endormi »

Ici, dans le rêve où je reprends conscience, trois lieux insécurisants (reprend son observation d’hier soir au moment de partir du cours de Chi Qong : penser éteindre les lumières parce qu’on est surveillés et qu’un cours a été stoppé pour avoir été dénoncé d’avoir laissé allumé après 21H).
Bref, je me retrouve ensuite sur la plage, en ambiance d’été. Je me dirige près de l’eau et m’assois sur le sable près de l’eau et des rochers. Une vaguelette vient me contourner et copieusement mouiller. Quelqu’un à mon coté s’écrie « oh ! la marée monte ! »

Machinalement ou parce que quelque chose me gêne je porte la main à mon oreille et sens quelque chose. Je commence à tirer une bouloche, et me retrouve avec un bouchon d’algues et des filaments suivent d’algue fine comme du tabac à cigarette mais vert translucide, des algues fines quoi ! J’en retire encore et encore, et fais de même avec l’autre oreille. Je le dis en le faisant à qui est avec moi. Maman peut-être ? Alors en même temps on se fait l’observation que ça risque de se déboucher d’un coup comme en descendant de la montagne ou en dépressurisation d’avion à l’atterrissage. Et c’est ce qui se produit, et je m’exclame que oui, j’entends mieux ! Tout ça me tracasse un peu tout de même.

Comment et combien de temps a-t-il fallu pour que mon conduit auditif s’obstrue à ce point ?

A deux on s’installe (changement de lieu) et mange une soupe. J’émets que j’apprécie ce genre de soupe que je n’ai pas l’habitude de manger une ainsi colorée aux légumes.

Et puis je suis dans ma cuisine, avec une soupe aux poireaux j’imagine puisque j’ai des tronçons de poireau encore devant moi sur la table. Maman (encore ?) est attablée à la table basse dans le salon et mange la sienne de soupe ?

Alors je fouille encore mon oreille droite et en sors encore des fils d’algue, et en tirant fort éjecte encore un bouchon accompagné d’une sauterelle blanche d’eau qui après s’être posée devant moi sur la table, s’enfuit à travers la pièce. Horrifiée d’avoir hébergé un hôte je crains pour les dégâts que ça a pu et aurait pu causer en interne, je me réveille avec la peur
aussi que la bestiole cherche à réintégrer mon oreille et suis mal un bon moment, j’arrange les cheveux autour de mes oreilles pour ne pas ressentir cette sensation qui reste de gêne d’avoir eu tous ces trucs, aussi j’ai toujours un peu mal aux oreilles comme depuis quelques jours pour avoir comme pris froid, ou infection qui ne se déclare pas mais reste latente, comme en épée de ..Damoclès…ah, tiens mon lanceur de javelot. Arjuna va te coucher !

Saturday, May 30, 2009

guitar strings for dilruba

samedi 30 mai 2009 – My last dream with Carl McCoy : il vient voir où j’en suis, je le vois en haut d’un escalier comme au sortir d’une câle de bateau et il me parle en parfait français. Tout abasourdie par cela je n’entends pas le contenu de ce qu’il me dit dans un regard interrogateur qui croise longuement le sien. Je finis par entendre qu’il me parle de mes cordes de dilruba, d’une marque de cordes de guitare. Peut-être me recommande t il une marque de cordes pour mon instrument. Puis je ne le vois plus. Déçue. Il n’est pas venu me chercher comme je le souhaiterais. C’est un souci de savoir si j’investis pour m’installer dans mon nouvel appartement ou bien me focalise juste sur quitter l’ancien pour l’instant en faisant le vide dans mes affaires (mon bazar) pour me tenir prête à partir.

Sunday, March 08, 2009

umerland devin last news about FOTN : Wednesday, February 25, 2009

En visualisant 2 jours après la dernière info à propos de FOTN sur le site Sumerland Devin me revient aussi sec en mémoire mon rêve fait la même nuit de la publication.

L'article : Sumerland devin last news about FOTN : Wednesday, February 25, 2009

The organizers of this year's Amphi Festival, scheduled for July 19 and 20 in Cologne, Germany, have named Fields of the Nephilim among its headliners. The full lineup looks fantastic, including Front 242, Laibach, KMFDM, QNTAL and many more. As always, before you make any expensive travel plans, let's wait and see if the official camp will confirm the gig.
Of course i twill beconfirmed as I’ve seen it in my last dream with CarlMcCoy a couple of nights ago !!

The dream shown a big grassy place with the scene slightly downwards. Fotn were making the balance in open sight, as i caught sight of this Carl came in and gave a circular look stopped in my direction but I doubt he really noticed me . Isaw also the long red drag of a coat but can’t tell who was wearing it.




Sunday, July 13, 2008

samedi 12 juillet : mauvaise rencontre

13/07/08 7:07 – Rêve 1 :Cauchemar de cette nuit

 

Absorbée dans mes pensées absente au monde sauf fonctions automatiques (je déambule dans des rayons scrutant ce qui passe à hauteur de mes yeux sans idée précise de ce que je cherche) mon attention soudain décroche accaparée par une présence.

Une silhouette s’impose dans mon périmètre par plusieurs approches successives. D’abord floue une présence malsaine se précise et arrive à ma hauteur. Je ressens aussitôt un sentiment de malaise et d’écrasement face à la corpulence inhabituellement massive de ce grand noir au look et physique de basketteur, peut-être boxeur au vu du visage anguleux, ici fermé, lourd, malfaisant. Jetant un regard à la ronde j’aperçois mon père plus loin dans la pièce affairé à l’ordinateur. Je n’ai pas décampé à l’alerte intérieure de la menace imminente représentée par cette incursion, contrée par un vécu en monde civilisé. Malgré ça tout bascule. La pièce grande, plongée dans la pénombre, vide d’autres présences laisse champ libre, prétexte au danger. Avant de le voir je devine ce que fais l’homme à deux pas de moi et le coup d’œil jeté à la dérobée a juste le temps de confirmer ce que je craignais. Il a déballé à la hâte son sexe à la peau noire lequel m’inspire aussitôt une lourde aversion, dégoût. Trop tard pour chercher à fuir comme il fond sur moi je panique et appelle au secours mon père qui poursuit impassible ce qu’il faisait, juste un léger sourire aux lèvres. Je me débats sans sensation précise d’être touchée, juste cognée. Je ressens la sensation de choc à la tête à plusieurs reprises et  alors que je  continue de crier il avance vers mon visage une poche qu’il tient dans la main menaçant de l’appliquer. Là je panique franchement et perds contrôle entendant juste ma voix en oracle narrer la situation et présager comme dans les contes ou bien les reportages télévisés. Des mauvais traitements nait l’attachement à son bourreau dont elle s’éprendra. Déjà elle ne peut réprimer la poussée de son désir montant pour le mâle auquel elle s’attachera dans la crainte plutôt qu’avoir à subir les assauts

sans les voir venir.

 

Laissant le corps de coté, mon cerveau se remet à fonctionner, vivement intéressé par l’enseignement d’une telle « expérience » au delà de l’aspect « représailles », que veut on me signifier ? Révêler ? Me permettre en voyant quelque chose d’enfoui ainsi déployé, l’exprimer pour pouvoir conjurer.

 

Pourquoi je rêve ça maintenant ? Bien-sûr l’étouffement vient de ma nouvelle tentative, abortée deux fois hier de faire une empreinte de mon visage pour masque, et de la principale difficulté : respirer pendant la prise. Je ne sais trop comment interprêter cette avalanche de violence à mon encontre, ma culpabilité à ne pas être par, partie à Londres. Punission pour avoir fait faux bond au RDV qui m’était fixé au Shepherd’s Bush Empire ? J’avais été accompagnée toute la journée par sa présence, portée. Un tee-shirt m’avait même adressé le message personnel alors que je passais en revue toute possib ilité de partir malgré tout : « Are you ready to move ? en gros caractères sur trois lignes occupant tout le devant d’un long tee-shirt couleur d’ocre rouille. Un peu plus tard j’entends parler de l’époque psychédélique avec la couleur orange euphorique représentant la vague féminine des années soixante. Et, de retour de PDJ dans Judaïca d’Eve sortie du coté d’ « à dents »… elle sort et se manifeste face à lui, sortie de son côté= elle n’y est plus pour exprimer ce qu’il ne voit pas, omet d’exprimer.  Alors elle s’en charge. D’ailleurs la Torah lui a été transmise avant lui. C’est elle qui reçoit le verbe est il dit. De ce verbe nait le monde. Alors que les hommes sont occupés à se battre pour la répartition des terres, se battre au point d’y perdre tout regard sur autre chose le rôle de veille incombe aux femmes. Qu’ils se battent mais sans affecter l’ordre de la vie. On devrait leur faire des stades (enceintes bien étanches de bacs à sable) pour qu’ils aillent se murger entre eux et se foutre sur la poire autant qu’ils veulent, bref qu’ils se défoulent sans s’en prendre à ceux qui n’ont rien demandé et laissent le monde en paix.

 

Aussi il est question d’une femme violée pour être sortie, de l’intériorité de la femme, du risque de sortir se mêler des affaires des hommes pour tout dire du risque d’aller sur leur terrain. Parler haut et fort, fanfaronner, jouer de la provocation, « à qui mettra la sienne », (=synonyme de boire avec honneur c’ets à dire ne pas se laisser payer à boire sans payer à son tour et plus on est plus ça dure).

 

Il se peut que l’enseignement consiste en me faire prendre conscience d’un choix à faire qui consiste enfin à sortir de ces archaïsmes avant de m’y laisser enfermer.

Qu’il s’agisse de me perdre parmi les hommes à leurs jeux.. ça je commence à avoir inttégré ! mais je rechute par faiblesse et empathie. L’autre aspect c’est celui du piège auquel on tente de me faire tomber et qui est précisément lié à la part sentimentale, la faiblesse par laquelle l’homme sexué ne doit pas pêcher, son arme secrête et d’ou bien tout l’endurcissement auquel il est très tôt conditionné.

Femme pour être respectée doit être capable d’être aussi ferme et apte à discerner le chantage dont elle fait l’objet, ne pas lui laisser prise, le désamorcer, le faire tomber caduque. Accepter de se soumettre aux mauvais traitement est un enfermement qui piège aussi bien la captive que sont bourreau.  

 

Deuxième rêve bien plus tard ou plutôt tôt car matinal celui-là,  je suis à nouveau dans cette maison de plein pied aux grandes pièces blanches et lumineuses, il y a des convives et un homme maghrében avec son garçon que je fais entrer pour nettoyer un bobo ou bien quelque chose du genre. Du coup il est assis dans le canapé et  je lui propose de la soupe après lui avoir demandé s’il a faim. Il en reste de celle qu’à faite Flo (légumes coupés au bouillon), et la mienne (mixée) n’est pas encore servie. Les convives alors que je prépare moi la soupe mixée, ont quitté le coin salon et laissé leurs assiettes sur la grande table basse. Je me vois dans la cuisine un peu comme celle de Thierry ou celle de Carcassonne, plutôt orientée comme chez Thierry mais avec fenêtre. 

Monday, December 10, 2007

lundi 10 décembre 2007 – (mylastdreamweavcmc) from the dream weaver..

"I'm he.. her.. not her not here not here

I'm not there."

from Saturday night, I see him on the way to Aix les Bains, he says nothing, only glazes at me and smiles.

 Mon esprit bute pour écrire le reste, la vision laisse place à une autre puis une autre je suis paniquée de savoir où je suis et ou je vais comment rentrer à la maison, à Chambéry, perturbée, pas le bon sens du trajet, mon père.. une invit à lui présenter ma cuisse me met hors de moi comme il ose me faire une telle proposition toujours ce malaise qu’il crée par, cette sensation de trahison de viol, pas ce qu’on attend de la part d’un père, pas de sécurité, de confiance possible, toujours cette invit interdite et mon dégoût, déception qu’il me fasse cela à moi, interdite d’être fille, interdite de père qui ne s’en avère pas digne.

 

Et dans tout cela ma solitude personne à qui en parler, personne pour accueillir cela, tous ceux à qui j’ai essayé me disent que je me fais des idées, que c’est moi qui induit le malaise en imaginant une telle chose.

 

Et pourtant je sais bien ce que j’ai vu passer dans ses yeux et qu’il n’adresse qu’à moi qu’il en soit conscient pleinement ou pas, en tous les cas il s’arrange bien pour que je sois seule à capter, d’où le jeu qu’il pousse toujours plus loin comme les autres ne voient pas pour le faire même en leur présence et me voir exploser d’agressivité si je ne parviens à fuir la situation, la proximité. Bien sûr dans le cas où je pête un cable personne ne comprend et me reproche de mal me comporter avec lui. Toujours le même sécnario. I brandit son sexe devant moi veut que je le reconnaisse pour autre chose qu’un père, que je le voit en tant que mâle.

 

A table aussi. Les discussions qui s’enveniment quelque soit le sujet. Soit je dis quelque chose et il prend le contre pied.  Soit c’est l’inverse. Personne ne veut céder. Pas un pour racheter l’autre. Est ce sur le fond ou sur la forme ? Moi passionnée par mes découvertes et qui veut les partager, lui qui s’intéresse mais ramène toujours à son système de pensée, cherche à s’approprier pour aboutir à dire exactement l’inverse ce qui inévitablement me met hors de moi ! Imparable.  Ou, si je m’y attends, j’ai fini par prévoir et laisser dire, ne plus partager ou je laisse d’autres s’y coller, prendre le relais et je reste en retrait.

 

Mais revenons à notre histoire.. là où elle a commencé, là où s’est planté le décor dans lequel dérouler l’intrigue, l’action.  Ce décor= là où tient lieu l’action.  Ce moment dans le temps et ce lieu co-incident et correspondent à mon entrée dans la vie active.

Je suis alors seule dans ma vie comme tant d’autres, seule et libre quoique très relativement du choix dont va découler la suite, qui je vais incarner, comment je vais exister aux yeux des autres. Quel choix ai je eu ou dans quelle mesure ai je été apte à disposer de ma vie à ce moment là sont deux questions qui font reconsidérer l’idée de liberté de décision.  Je vais même jusqu’à affirmer que je n’étais pas pleinement consciente non seulement de disposer d’une vie mais d’en avoir une tout aussi bien.  Il m’a fallu du temps et bien des étapes pour parvenir à cette considération de ne pas être vouée à être un ballot/paquet/jouet aux mains des autres.  En ai je même fini ? Je me pose encore la question et n’ai pas fini d’y répondre.



Tuesday, September 18, 2007

MySpaceTV: Fields of the Nephilim - Exordium par PsychografX