mercredi 22 juin 2005 14 :49 – Rêve : Victime d’animalité/horrible condition
Comme un loup dans la bergerie dit l’expression, ici en l’occurrence c’est un alien qui se révèle parmi nous. On assiste à la transformation d’un homme non-pas en loup garou mais en sorte de saurien canrnassier. Sous les traits du puissant et séduisant Arnold Schwartzeneger changé en brute sanaguinaire, ce cannibale d’un autre monde ou d’une autre époque vient s’en donner à gorge déployée, il vient prendre son repas et son repas c’est nous. Moi, mes sœurs et je ne sais pas qui est aussi à la maison désormais plus sûre puisque le monstre a pu y entrer. Comme à mon habitude en face d’animalité je parviens à désamorcer l’attaque à mon égard.
En fait cette fois je m’en suis sortie je me dis sans doute par miracle jusqu’à ce que je comprenne alors en tête à tête avec lui que j’ai une place privilégiée. Seule survivante à avoir réchappé de son contact, je me trouve dans le secret de son existence. Mi dinosaure lors de sa transformation il reprend ses traits humains. Ne reste comme marque qu’il appartient à un autre état une marque, ou plutôt une sorte de valve comme celle qu’on les mammifères marins pour respirer. Celle-ci est placée sur son abdomen au niveau de l’estomac. En tant qu’extra terrestre il prétend connaître beaucoup de choses de la nature humaine, par exemple comment satisfaire sexuellement une femelle est un jeu d’enfant pour lui, presqu’une routine. Encore pétrifiée, je n’envisage même pas de fuir.
Je me sens troublée hypnotisée comme droguée sans volonté, triste et indifférente alors que je me laisse aller à ses caresses ou attentions à mon égard. Mi amusé, mi déçu cruel il commente et me reproche à voix haute : « et bien quelle mollesse ! tu étais plus motivée hier soir et je t’ai connue plus entreprenante » suggérant que nous nous serions déjà livrés à ces actes les jours précédents. On se serait déjà rencontrés alors, je m’interroge ? Puis il me montre son alvéole et m’engage à le masturber. Cherchant dans mes souvenirs comment j’avais pu déjà effectuer ce geste, je fais ce qu’il me demande sans raison de m’y opposer et pour éviter de le contrarier. Je caresse le pourtour humide, ce qui a pour effet de lui provoquer quelques gémissements de plaisir et m’évade dans ma tête.
Subjuguée ? Séduite pour le moins, curieuse et dans l’expectative comme à chaque arrivée dans un rêve le temps de saisir dans quelle réalité je me trouve à partir des éléments dont je dispose. Tout ce que je sais c’est que je suis à sa merci, qu’il le sait et en profite. Je pense qu’il va me dévorer d’un instant à l’autre quand il en aura fini avec moi. Comme s’il avait entendu mes pensées, il me le confirme et veux me rassurer en me disant que c’est la condition à laquelle je me soumets volontairement pour être avec lui. C’est notre condition qui le veut, mais ça ne dure que jusqu’au lendemain puis on recommence pareil et ainsi de suite chaque jour.
Glauque et triste réalité, sorte de constat que c'est tout ce qu'il a à m'apporter.
Comme un loup dans la bergerie dit l’expression, ici en l’occurrence c’est un alien qui se révèle parmi nous. On assiste à la transformation d’un homme non-pas en loup garou mais en sorte de saurien canrnassier. Sous les traits du puissant et séduisant Arnold Schwartzeneger changé en brute sanaguinaire, ce cannibale d’un autre monde ou d’une autre époque vient s’en donner à gorge déployée, il vient prendre son repas et son repas c’est nous. Moi, mes sœurs et je ne sais pas qui est aussi à la maison désormais plus sûre puisque le monstre a pu y entrer. Comme à mon habitude en face d’animalité je parviens à désamorcer l’attaque à mon égard.
En fait cette fois je m’en suis sortie je me dis sans doute par miracle jusqu’à ce que je comprenne alors en tête à tête avec lui que j’ai une place privilégiée. Seule survivante à avoir réchappé de son contact, je me trouve dans le secret de son existence. Mi dinosaure lors de sa transformation il reprend ses traits humains. Ne reste comme marque qu’il appartient à un autre état une marque, ou plutôt une sorte de valve comme celle qu’on les mammifères marins pour respirer. Celle-ci est placée sur son abdomen au niveau de l’estomac. En tant qu’extra terrestre il prétend connaître beaucoup de choses de la nature humaine, par exemple comment satisfaire sexuellement une femelle est un jeu d’enfant pour lui, presqu’une routine. Encore pétrifiée, je n’envisage même pas de fuir.
Je me sens troublée hypnotisée comme droguée sans volonté, triste et indifférente alors que je me laisse aller à ses caresses ou attentions à mon égard. Mi amusé, mi déçu cruel il commente et me reproche à voix haute : « et bien quelle mollesse ! tu étais plus motivée hier soir et je t’ai connue plus entreprenante » suggérant que nous nous serions déjà livrés à ces actes les jours précédents. On se serait déjà rencontrés alors, je m’interroge ? Puis il me montre son alvéole et m’engage à le masturber. Cherchant dans mes souvenirs comment j’avais pu déjà effectuer ce geste, je fais ce qu’il me demande sans raison de m’y opposer et pour éviter de le contrarier. Je caresse le pourtour humide, ce qui a pour effet de lui provoquer quelques gémissements de plaisir et m’évade dans ma tête.
Subjuguée ? Séduite pour le moins, curieuse et dans l’expectative comme à chaque arrivée dans un rêve le temps de saisir dans quelle réalité je me trouve à partir des éléments dont je dispose. Tout ce que je sais c’est que je suis à sa merci, qu’il le sait et en profite. Je pense qu’il va me dévorer d’un instant à l’autre quand il en aura fini avec moi. Comme s’il avait entendu mes pensées, il me le confirme et veux me rassurer en me disant que c’est la condition à laquelle je me soumets volontairement pour être avec lui. C’est notre condition qui le veut, mais ça ne dure que jusqu’au lendemain puis on recommence pareil et ainsi de suite chaque jour.
Glauque et triste réalité, sorte de constat que c'est tout ce qu'il a à m'apporter.
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