Oh, Boy!, tel est en VO le fameux Oh, bravo! de Sam Beckett.
Mercredi 1er juin
entre sommeil et éveil plusieurs mots cherchent à former une phrase, se posant en ordre à ma conscience par blocs « un sursis » « un mois » « béni » un sursis béni d’un mois ? Je pose la question "béni par qui?" tout en revenant à moi, plus exactement en retrouvant en mémoire ma situation laissée la veille avant de sombrer dans le sommeil.
Ma situation, celle vis-à-vis du jugement du tribunal des affaires familiales reçu deux jours plus tôt et m’accordant un délai d’un mois pour faire appel.
Je réalise qu’ « un mois » évoque aussi le sursis qui reste à Ma Couille pour la date de sortie de son album annoncée sur l’autre site de fans.
Info non démentie signifie consentie. Ce disque a été annoncé tant de fois ! Improbable sortie d’album cependant puisqu’aucun line-up n’a été annoncé, ni rien d’autre.
Par qui ? je demande. Presque simultanément la réponse claire me parvient : « le p’tit gars ». C’est tout. Débrouille toi avec ça je me dis à moi-même encore interloquée de la manière selon laquelle le message de la nuit a surgit cette fois. Ben me v’la bien avancée !
Rêve : Local à l’étage auquel j’ai accès. Boutique ? Mercerie ? Partie ouverte au public et arrière pièce avec dossier suspendus ou un peu comme un pressing objets sur rails. On ferme, je reste un peu le temps de reprendre mes esprits et comprendre ce que je fais là, débarquée là à la manière de Sam quand il atterit dans un nouveau corps dans Code Quantum.
Le titre original de la série est "Quantum Leap". Quantum renvoie à un terme de physique qui sert ici de base à la théorie du voyage temporel. Leap vient du verbe anglais to leap qui signifie "sauter, faire un bond". Le titre fait donc référence au moment où Sam change d'époque en faisant un saut dans le temps grâce aux quanta
.
Scott Bakula (Docteur Samuel Beckett), Dean Stockwell (Albert Calavicci)
Son premier saut lui a fait perdre la mémoire et une partie de ses aptitudes intellectuelles. Site fan fr http://www.lmds.fr/abcd/code_quantum.htm
« Tu n’auras qu’à laisser la clé dans la boite aux lettres après avoir fermé. » Me crie-t-on. Je trouve ça un peu risqué vu l’allure de la boite aux lettres. Le lendemain, ou un instant plus tard, je ne sais ce qu’il s’est passé. Il faut ouvrir, savoir qui a la clé. Je me rappelle qu’on m’a demandé de la laisser dans la boite. D’ailleurs je vais la récupérer et plonge la main sous l’œil mâlin et inquiétant de Frémont (personnage de la série TV Plus belle la vie). Le fais-je sous sa menace, cambrioleur ? Je ne comprends pas et constate avec lui qu’il n’est pas besoin de clé pour ouvrir cette boite aux lettres puisqu’il l’a lui-même forcé l’ouverture. Au fond de la boite et sous son regard je trouve ma main au contact de toutes sortes de bric à brac, la clé y est bien.
Vendredi 03/06/2005 11:46 - Goujaterie
Alors que je bosse sur mon PC, un mec vient s’asseoir désinvoltement sur le bureau tout en parlant avec quelqu’un, il étale son postérieur sans faire cas de moi ni du clavier qu’il pousse, bref il s’impose sans la moindre forme de politesse. Je ne vais tout de même pas me laisser faire sous prétexte que c’est un mec qui se donne un air important. Mais j’ai beau protester il m’ignore et se saisit même du clavier tout en continuant à parler. Hors de moi, je lui saute dessus. S’ensuit un corps à corps. L’homme est gras et s’amuse à me faire tournoyer. Il ne sagit pas de se blesser c’est plus un jeu de contact dont l’enjeu pour moi est récupérer ma place au PC, alors que lui visiblement s’amuse à m’enquiquiner. Quand je reviens à moi, je m’aperçois que la façade de l’écran aussi a disparu. Plus personne dans la pièce. Je sors indignée hurlant la situation à qui veut bien l’entendre et me porter secours. Personne dans le couloir, les pièces ouvertes dont la mienne sont toutes en désordre et fréquentées. Les gamins s’y amusent, chacun vaque à ses occupations bref je ne trouve aucun soutien. Je constate que certaines des chambres sont fermées, j’entre dans la sienne qu’il partage avec cet autre homme à qui il parlait, calme et bien rangée, d’allure soignée… normal, personne n’y entre. L’ordre et le calme chez soi, la convivialité chez les autres. Un peu d’amertume me vient à cette pensée.
Ballade tout terrain, lieu humide, route impraticable je le signifie alors que ma potesse fait mine d’y aller franco et risquer la traversée. Je la mets en garde, j’en viens et l’eau est trop haute pour passer à pied sec et sans danger d’être emporté par le courant. Temps insécurisé, menaçant.
entre sommeil et éveil plusieurs mots cherchent à former une phrase, se posant en ordre à ma conscience par blocs « un sursis » « un mois » « béni » un sursis béni d’un mois ? Je pose la question "béni par qui?" tout en revenant à moi, plus exactement en retrouvant en mémoire ma situation laissée la veille avant de sombrer dans le sommeil.
Ma situation, celle vis-à-vis du jugement du tribunal des affaires familiales reçu deux jours plus tôt et m’accordant un délai d’un mois pour faire appel.
Je réalise qu’ « un mois » évoque aussi le sursis qui reste à Ma Couille pour la date de sortie de son album annoncée sur l’autre site de fans.
Info non démentie signifie consentie. Ce disque a été annoncé tant de fois ! Improbable sortie d’album cependant puisqu’aucun line-up n’a été annoncé, ni rien d’autre.
Par qui ? je demande. Presque simultanément la réponse claire me parvient : « le p’tit gars ». C’est tout. Débrouille toi avec ça je me dis à moi-même encore interloquée de la manière selon laquelle le message de la nuit a surgit cette fois. Ben me v’la bien avancée !
Rêve : Local à l’étage auquel j’ai accès. Boutique ? Mercerie ? Partie ouverte au public et arrière pièce avec dossier suspendus ou un peu comme un pressing objets sur rails. On ferme, je reste un peu le temps de reprendre mes esprits et comprendre ce que je fais là, débarquée là à la manière de Sam quand il atterit dans un nouveau corps dans Code Quantum.
Le titre original de la série est "Quantum Leap". Quantum renvoie à un terme de physique qui sert ici de base à la théorie du voyage temporel. Leap vient du verbe anglais to leap qui signifie "sauter, faire un bond". Le titre fait donc référence au moment où Sam change d'époque en faisant un saut dans le temps grâce aux quanta
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Scott Bakula (Docteur Samuel Beckett), Dean Stockwell (Albert Calavicci)
Son premier saut lui a fait perdre la mémoire et une partie de ses aptitudes intellectuelles. Site fan fr http://www.lmds.fr/abcd/code_quantum.htm
« Tu n’auras qu’à laisser la clé dans la boite aux lettres après avoir fermé. » Me crie-t-on. Je trouve ça un peu risqué vu l’allure de la boite aux lettres. Le lendemain, ou un instant plus tard, je ne sais ce qu’il s’est passé. Il faut ouvrir, savoir qui a la clé. Je me rappelle qu’on m’a demandé de la laisser dans la boite. D’ailleurs je vais la récupérer et plonge la main sous l’œil mâlin et inquiétant de Frémont (personnage de la série TV Plus belle la vie). Le fais-je sous sa menace, cambrioleur ? Je ne comprends pas et constate avec lui qu’il n’est pas besoin de clé pour ouvrir cette boite aux lettres puisqu’il l’a lui-même forcé l’ouverture. Au fond de la boite et sous son regard je trouve ma main au contact de toutes sortes de bric à brac, la clé y est bien.
Vendredi 03/06/2005 11:46 - Goujaterie
Alors que je bosse sur mon PC, un mec vient s’asseoir désinvoltement sur le bureau tout en parlant avec quelqu’un, il étale son postérieur sans faire cas de moi ni du clavier qu’il pousse, bref il s’impose sans la moindre forme de politesse. Je ne vais tout de même pas me laisser faire sous prétexte que c’est un mec qui se donne un air important. Mais j’ai beau protester il m’ignore et se saisit même du clavier tout en continuant à parler. Hors de moi, je lui saute dessus. S’ensuit un corps à corps. L’homme est gras et s’amuse à me faire tournoyer. Il ne sagit pas de se blesser c’est plus un jeu de contact dont l’enjeu pour moi est récupérer ma place au PC, alors que lui visiblement s’amuse à m’enquiquiner. Quand je reviens à moi, je m’aperçois que la façade de l’écran aussi a disparu. Plus personne dans la pièce. Je sors indignée hurlant la situation à qui veut bien l’entendre et me porter secours. Personne dans le couloir, les pièces ouvertes dont la mienne sont toutes en désordre et fréquentées. Les gamins s’y amusent, chacun vaque à ses occupations bref je ne trouve aucun soutien. Je constate que certaines des chambres sont fermées, j’entre dans la sienne qu’il partage avec cet autre homme à qui il parlait, calme et bien rangée, d’allure soignée… normal, personne n’y entre. L’ordre et le calme chez soi, la convivialité chez les autres. Un peu d’amertume me vient à cette pensée.
Ballade tout terrain, lieu humide, route impraticable je le signifie alors que ma potesse fait mine d’y aller franco et risquer la traversée. Je la mets en garde, j’en viens et l’eau est trop haute pour passer à pied sec et sans danger d’être emporté par le courant. Temps insécurisé, menaçant.
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