« accorde nous d’être un seul corps… en attendant les saints intercèdent »
lundi 7 février 2005 - Une série TV :
Elle dit qu’elle a besoin de trouver sa place en ce monde avant de pouvoir vivre à ses côtés. Elle a passé 20 ans dans le coma et se réveille à la quarantaine. Lui l’a gardée à la maison avec sa fille qui a grandit a ses côtés. Il a une aventure avec sa meilleure amie qu’il a consolée lors du décès de son époux, mais quand il retrouve il retombe amoureux de sa femme et quitte la meilleure amie.
Moi en heyoka j’ai besoin de retrourner les choses, de les voir autrement.
Pour pouvoir trouver ma place en ce monde moi je veux prendre place à C côtés avant toute autre chose. Pourtant le temps passe et ça ne se fait pas. Je voucrais comprendre et trouver la solution. Je continue à rêver quotidiennement et à me souvenir de mes rêves au réveil.
Si je ne les note pas des bribes me reviennent cependant dans la journée.
Là, j’ai vu en rêve la dégradation impuissante de mon PC par une petite fille armée d’un stylo, alors il faut que je préserve les données de mon disque dur.
Quel rapport… (suite)
Richard est parvenu au tour de force de faire venir à la réalité une femme connue d’abord dans ses rêves, Un homme a rêvé, et eu des visions de quelqu’un d’inconnu. Est-ce possible ? Moi je dis que non, comme on ne peut créer qu’avec ce dont on dispose c’est à dire ce qui est du domaine du connu, ce qui préexiste à notre conscient. Or dans le film de Thierry Chabert comme dans le roman de gilbert Sinoué, Richard et Dora ne se sont jamais rencontrés ni cotoyés, pas plus que Ricardo n’a pu réellement rencontrer Saradans la réalité matérielle ou "spatiale-temporelle-causale".
L’une vit en Grèce, l’autre en Argentine/ou en France. La vision identifiable de façon précise d’un visage jamais vu n’est pas possible.
Ce roman est une fiction. Il est très proche et essaie d’imiter une réalité sans toutefois y arriver. (voir http://www.desjrsetdesnuits.blogspot.com)
Mon histoire repose sur un souhait émis dans l’intimité de mon être, sans destination identifiée tout d’abord. C’est à dire que j’ai commencé par formuler ce vœu sur une idée composée de l’assemblage de sentiments, perceptions, pensées déjà connues. Je me suis fait une idée du couple.
Pas consciemment. Je ne l’ai pas élaborée un jour en me disant un couple ça doit être comme ci ou comme ça parce que j’ai vu ceci ou cela et que cela fonctionne ou pas. Non, je suis arrivée dans un monde composé de couples et un jour où j’ai été capable de faire la différence entre eux (entités duelles ou doubles) et moi je me suis vue seule.
Eux ils avaient quelque chose qui m’était refusé. J’ai appris cela à travers l’oedipe, mot que j’ai lu depuis. De cette frustration j’ai élaboré mon désir de couple comme un modèle d’existence à atteindre, un modèle qui procure force et paix.
Ceux qui s’allient dans l’existence ont une vie réussie. Ceux qui restent seuls le sont pour avoir râté quelquechose. Ils ont quelquechose d’incapable, d’impuissant, de misérable, de triste.
« Où qu’ils aillent, ils sont triste à la fête, où qu’ils aillent, ils sont seuls dans leur tête. Je veux chanter pour ceux qui sont loin de chez eux » ;
Cette chanson de Michel Berger / France Gall bien que parlant des exilés me semble parler encore mieux d’un pays appelé en anglais « home » comme « homme » mais avec un seul « m », l’homme qui aime un seul, l’amour unique qui fait son foyer et qu’il emmène dans sa tête où qu’il aille. « Ou qu’ils aillent seuls dans leur tête » concerne ceux qui n’ont pas identifié cet autre qui peut composer ce « home » ce foyer, ce vivier, cette source de vie.
Idée formée du modèle parental, de celui de mes grand-parents, couples d’amis, oncles et tantes, etc. Par mimétisme et fusion de ces différentes perceptions je me suis fait une idée que j’ai voulu incarner avec un autre être qu’il me reste à trouver.
Elle dit qu’elle a besoin de trouver sa place en ce monde avant de pouvoir vivre à ses côtés. Elle a passé 20 ans dans le coma et se réveille à la quarantaine. Lui l’a gardée à la maison avec sa fille qui a grandit a ses côtés. Il a une aventure avec sa meilleure amie qu’il a consolée lors du décès de son époux, mais quand il retrouve il retombe amoureux de sa femme et quitte la meilleure amie.
Moi en heyoka j’ai besoin de retrourner les choses, de les voir autrement.
Pour pouvoir trouver ma place en ce monde moi je veux prendre place à C côtés avant toute autre chose. Pourtant le temps passe et ça ne se fait pas. Je voucrais comprendre et trouver la solution. Je continue à rêver quotidiennement et à me souvenir de mes rêves au réveil.
Si je ne les note pas des bribes me reviennent cependant dans la journée.
Là, j’ai vu en rêve la dégradation impuissante de mon PC par une petite fille armée d’un stylo, alors il faut que je préserve les données de mon disque dur.
Quel rapport… (suite)
Richard est parvenu au tour de force de faire venir à la réalité une femme connue d’abord dans ses rêves, Un homme a rêvé, et eu des visions de quelqu’un d’inconnu. Est-ce possible ? Moi je dis que non, comme on ne peut créer qu’avec ce dont on dispose c’est à dire ce qui est du domaine du connu, ce qui préexiste à notre conscient. Or dans le film de Thierry Chabert comme dans le roman de gilbert Sinoué, Richard et Dora ne se sont jamais rencontrés ni cotoyés, pas plus que Ricardo n’a pu réellement rencontrer Saradans la réalité matérielle ou "spatiale-temporelle-causale".
L’une vit en Grèce, l’autre en Argentine/ou en France. La vision identifiable de façon précise d’un visage jamais vu n’est pas possible.
Ce roman est une fiction. Il est très proche et essaie d’imiter une réalité sans toutefois y arriver. (voir http://www.desjrsetdesnuits.blogspot.com)
Mon histoire repose sur un souhait émis dans l’intimité de mon être, sans destination identifiée tout d’abord. C’est à dire que j’ai commencé par formuler ce vœu sur une idée composée de l’assemblage de sentiments, perceptions, pensées déjà connues. Je me suis fait une idée du couple.
Pas consciemment. Je ne l’ai pas élaborée un jour en me disant un couple ça doit être comme ci ou comme ça parce que j’ai vu ceci ou cela et que cela fonctionne ou pas. Non, je suis arrivée dans un monde composé de couples et un jour où j’ai été capable de faire la différence entre eux (entités duelles ou doubles) et moi je me suis vue seule.
Eux ils avaient quelque chose qui m’était refusé. J’ai appris cela à travers l’oedipe, mot que j’ai lu depuis. De cette frustration j’ai élaboré mon désir de couple comme un modèle d’existence à atteindre, un modèle qui procure force et paix.
Ceux qui s’allient dans l’existence ont une vie réussie. Ceux qui restent seuls le sont pour avoir râté quelquechose. Ils ont quelquechose d’incapable, d’impuissant, de misérable, de triste.
« Où qu’ils aillent, ils sont triste à la fête, où qu’ils aillent, ils sont seuls dans leur tête. Je veux chanter pour ceux qui sont loin de chez eux » ;
Cette chanson de Michel Berger / France Gall bien que parlant des exilés me semble parler encore mieux d’un pays appelé en anglais « home » comme « homme » mais avec un seul « m », l’homme qui aime un seul, l’amour unique qui fait son foyer et qu’il emmène dans sa tête où qu’il aille. « Ou qu’ils aillent seuls dans leur tête » concerne ceux qui n’ont pas identifié cet autre qui peut composer ce « home » ce foyer, ce vivier, cette source de vie.
Idée formée du modèle parental, de celui de mes grand-parents, couples d’amis, oncles et tantes, etc. Par mimétisme et fusion de ces différentes perceptions je me suis fait une idée que j’ai voulu incarner avec un autre être qu’il me reste à trouver.
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