Wednesday, February 02, 2005

le calendrier, la boussole et le compas, Von Magnet « de l’aimant ».

Il est l’alpha et l’oméga, le . Le 7ème jour commun aux deux.
360 + 5 jours soit (2 x 6)=12 mois de 30 jours + 5 Il reste 2 jours, le premier e(s)t le jour dernier comme dans l’alphabet « inversé » (tracer les 26 lettres sur du papier dans un sens puis dans l’autre en les juxtaposant 4x6+2=26. Plier 2+2 fois ou poursuivre. J’ai tenté l’exercice dans le but premier de trouver une correspondance entre les lettres de l’alphabet et les notes de la gamme de DO/LA.

CDO1.DRE2.EMI3.FFA4.GSOL5.ALA6.BSI7. (à la française)et
ALA1.BSI2 CDO3.DRE4.EMI5.FFA6.GSOL7 (à l’anglaise).

360 comme les 360 degrés du cercle à 12 rayons de 30 degrés
52 semaines de 7 jours , sous-entendu 7=6+1 soit 52x6 + 52 = 364 (manque 1)
L’année ne peut être un cycle parfait sous peine que le temps ne se répète ou plus exactement ne fasse que tourner en boucle à l’identique. Il a fallu instaurer un cycle temporel lequel comme son nom l’indique se perpétue et consitue une norme reconnue par tous pour pouvoir s’accorder, se repérer « à l’échelle » humaine.

Et il a fallu le détail, le grain de sable, l’erreur qui parfait l’œuvre en lui donnant vie, le cran qui déclanche le mécanisme mettant en route l’horloge du temps.. ou plus exactement si on veut admettre une histoire sans début ni fin (le monde était avant soi et sera après soi) un point de cristallisation quelquepart, à un moment « do-(n)né », un maillon de la chaine du vivant qui é-choit (du verbe é-choir) en même temps qu’il prend conscience de sa condition et en subit le vertige (de vertigo, tournoiement). Le maillon faible alors part à la recherche du chaînon manquant.

Imaginer un monde qui voudrait entrer en contact avec un autre, deux entités indéfinies se cherchent un lieu de rencontre pour s’incarner (soit se définir selon les données du-dit monde qui leur est commun puisque par eux créé/croisé/décliné).

Le temps est un ruban de Moebius.
Sur son échelle les deux mondes vont se développer à l’endroit et à l’envers l’un de l’autre,
la création s’étale et se contracte à la fois… jusqu’au point de rencontre impossible et pourtant jouable à l’infini.

Tout est affaire (à faire) de biodiversité ; Le génie créateur s’ex-prime pour mieux s’un-primer dans le ruban. Gigantesque mise en scène pour un théâtre grandeur nature.

Comme dans le mythe un jour l’Indéfinissable s’incarne dans « sa » création jusqu’à en mourir. Autant d’aventures, d’épopées. Tout peut être exploré, vu par procuration, pressenti à l’échelle humaine.

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